Présent

BOURSES INDIVIDUELLES

Actuellement nous avons : 33 boursiers en primaire et secondaire ainsi que 20 étudiants (commerce/économie/gestion, sciences de l’éducation, médecine, infirmière, architecture, génie électromécanique et mécanique auto, sciences juridiques, génie électromécanique, informatique, télécommunications, langues, agronomie, électricité bâtiment).

La plupart terminent les études avec de bonnes voire d’excellentes notes et plusieurs d’entre eux ont rapidement trouvé un emploi.
Toutes ces personnes bénéficient également d’aides alimentaires ponctuelles dont le montant et la fréquence dépendent de l’état de notre compte.

Nous sommes encore en contact avec 58 des 132 anciens bénéficiaires. 6 sont décédés.
32 parmi les boursiers anciens et actuels s’investissaient ou s’investissent encore au sein des activités de la Fondation LpH-Haïti, notre structure sur place.
15 des anciens boursiers dont 7 enfants ont eu la chance de partir à l’étranger (République dominicaine, Etats-Unis, Bénin puis Paris, Canada, Brésil), la majorité pour y compléter leurs études

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CENTRE PROFESSIONNEL LUMIERE CELESTE CEPROLU

Sur la demande d’un ancien boursier, Wilcius, et grâce à la recette d’une manifestation sportive en Suisse, ce Centre a pu être mis sur pied en 2008.
Son motif : sauver un grand nombre de jeunes de la délinquance et de la prostitution en leur donnant la possibilité d’apprendre un métier. Il offre des cours de qualité à un prix bas et des bourses aux plus nécessiteux, leur permettant de gagner dignement la vie et les rendre indépendants de l’aide extérieure. Y sont enseignés à quelques 100 jeunes par an des métiers permettant aux jeunes de trouver facilement des débouchés en cuisine/pâtisserie, couture, cosmétologie, informatique, dépannage d’ordinateurs, musique, photo/vidéographie, climatisation et réfrigération, électricité, plomberie, art floral, mécanique industrielle, ainsi que la communication française. Le taux de réussite est très grand. 

Lors du séisme en 2010, le bâtiment occupé par le Ceprolu a été endommagé et un autre local a été trouvé au premier étage d’une maison. Le loyer est cher et les salles exigües sont inadaptées à une école professionnelle. Pour que l’école devienne détentrice de la licence, les dimensions des salles de classe doivent correspondre aux normes de l’Etat, ce qui n’est pas le cas. Trouver un bâtiment adéquat à un prix abordable s’est avéré impossible. Acheter un terrain et y construire est devenu une nécessité.

Un terrain de 1’471.64 m2 a pu être acheté en automne 2012 en vue d’y construire un bâtiment pouvant contenir 16 salles de classe. En été 2013, les travaux ont pu commencer grâce aux subventions de la Ville de Genève et le Fonds d’Aide de Migros. Avec l’aide des SIG, les Fondations Hirzel et Haimoff, le Service de Solidarité International de l’Etat de Genève, l’Institut Robin des Bois, la commune de Meyrin et l’Association Saint-Martin, le beau bâtiment a pu être inauguré en 2015. Les principales matières enseignées sont l’informatique, dépannage ordinateur, cosmétologie, coupe/couture, cuisine/pâtisserie, électricité et plomberie.

En 2017, le directeur érige un bâtiment provisoire dans la cour pour y accueillir les enfants du préscolaire et les quatre premières années fondamentales. Les leçons aux élèves de la 7e à la 9e année sont dispensés dans le bâtiment principal.
Avec l’aide de la Fondation Charles Haimoff est aussi construite une cafétéria.

Depuis 2019, en dehors des cours professionnels, le Ceprolu accueille toutes les classes allant du préscolaire à la philo. L’apport financier fourni par les parents d’élèves contribue fortement aux salaires des enseignants des cours professionnels, les jeunes étudiants ayant beaucoup de peine à rassembler les frais de fonctionnement pourtant minimes.

Depuis juin 2019, le bureau de LpH est installé dans une salle du Ceprolu.

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L'ECOLE DES PETITS SOLEILS

Le soutien à cette école a commencé en 2002 avec un don modeste de 620 $ US. En 2008-09, Lumière pour Haïti a financé l’achat d’un plus grand bâtiment et a parrainé 280 élèves sur un effectif de 516 et contribué à une très large mesure à la cantine scolaire.

Automne 2013 : « Il est venu le temps pour l’oiseau grandi dans la cage d’apprendre à voler. Merci pour tout de tout cœur. » C’est ainsi que s’expriment Djimy et Barbara, les directeurs de cette école qui estiment que le moment est venu de tenter l’indépendance.

Lors d’une incendie en 2016, Djimy et sa femme ont tout perdu, sauf la vie. Le bâtiment principal a complètement brûlé et l’autre est sévèrement endommagé. Ils se sont endettés pour la reconstruction et ne peuvent payer les salaires des enseignants qu’avec grande difficulté.

Depuis fin 2017, afin que l’école ne doive pas fermer, Lumière pour Haïti a repris le soutien à cette école en assumant la réparation du toit qui laissait passer l’eau et en accordant des subventions annuelles pour participer aux salaires.

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L'ECOLE MIXTE BETSALEEL A CITE SOLEIL

En 2006, cédant à la pression exercée par les parents des enfants qui ont fréquenté le Centre éducatif fonctionnant le week-end, les dirigeants de l’équipe des bénévoles, Semexant, Samson et Frantz ont fondé une école. Depuis 2007, Lumière pour Haïti prend en charge le salaire des 17 employés et la cantine scolaire pour un total de 260 élèves du préscolaire et du primaire.

En 2009, Lumière pour Haïti a financé l’achat d’un bâtiment plus solide et en 2011 d’un bâtiment annexe et d’un terrain servant de préau. En 2015, le préau a été couvert et transformé en auditorium.

En 2016, l’école a fêté ses 10 ans d’existence. Depuis 2017, elle offre aussi les classes de 7e, 8e et 9e années fondamentales.

En 2019, pour libérer l’auditorium qui a servi de salle de classe depuis l’ouverture du 3e cycle, la direction de l’école Bétsaléel fait construire quatre nouvelles salles au-dessus d’une partie du bâtiment. Une des salles est réservée pour les cours d’informatiques.

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ECOLE FEMME 2000

En 2021, à cause des violences permanentes qui paralysent de larges zones de la capitale, l’école ne fonctionne plus que sporadiquement et se limite aux cours de cuisine.

Le projet de Marie Cédilia était de permettre l’insertion sociale des filles et femmes du quartier de Carrefour feuilles en les aidant à apprendre à lire et à écrire, avoir une profession (cuisine, pâtisserie, coupe et couture) et devenir capables de créer une activité rentable. Touchées par ce projet, Nancy et Christa décident en 2011 de s’y investir à travers Lumière pour Haïti, d’abord par un prêt pour l‘achat de matériel et la prise en charge du loyer très cher. 

En 2012, grâce principalement aux deux marraines suisses et une participation de Lumière pour Haïti, une belle maison aux dimensions bien plus pratiques peut être achetée, rénovée et aménagée. L’éventail des cours s’enrichit de leçons d’alphabétisation.
L’école ne connait pas le succès mérité, peu de jeunes femmes ne pouvant réunir les frais d’étude pourtant modestes. Depuis 2016, Christa offre quelques bourses ce qui permet à un nombre plus important d’étudiantes de pouvoir bénéficier d’une bonne formation. 

Les cours d’alphabétisation sont supprimés depuis 2016.

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ECOLE GEORGES ROSSIER

Unité Jamm, un mouvement regroupant des jeunes de différentes nationalités, a mis sur pied un projet de construction d’école par l’intermédiaire de Frantz Duval Saint-Lot, partenaire de longue date de Lumière pour Haïti.
A Pâques 2018, une quarantaine de personnes partent à Thomonde pour y poser les premières pierres. Le jour de l’arrivée, les voilà devant des tranchées vides ! A travers une chaîne humaine, les gros cailloux passent de mains blanches en mains noires pour être placés et cimentés au fond des tranchées par les ouvriers locaux. Quinze jours plus tard, on peut marcher sur les petites murailles formant les fondations de la future « école Georges Rossier », nommée ainsi en hommage à l’ancien collègue suisse du comité de Lumière pour Haïti ayant beaucoup contribué au développement en Haïti. L’argent récolté par les jeunes ne suffisant pas, Lumière pour Haïti participe à la recherche de fonds. Grâce à la Ville de Genève, le bâtiment contenant six salles de classe et deux salles d’administration peut être inauguré le 1er août 2019.

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JARDIN COMMUNAUTAIRE A DUVIVIER

En attendant de pouvoir réunir les fonds pour la construction du complexe socio-éducatif, nous créons un jardin gigantesque sur notre terrain à Duvivier ! L’accès aux aliments, déjà habituellement extrêmement restreint à cause de la dépendance de l’étranger, est encore plus difficile maintenant avec la hausse exponentielle du prix des denrées, accentuée par la rareté du carburant. Tout le long de la clôture sont plantés trente arbres fruitiers (citron, mangue, banane, cerise) et toutes sortes de légumes sur le terrain fertile. Les premières récoltes de maïs, haricots et calalou sont déjà réparties entre la cantine de Bétsaléel et les gens du quartier qui prêtent main forte.

Pour la sécurité et le stockage des outils achetés et encore à acquérir, pour l’entreposage des semis et des récoltes, la construction d’un entrepôt est devenue indispensable. Il servira aussi d’abri au gardien. Pour la première fois, une institution haïtienne, la Fondation FOKAL (Fondation Connaissance et Liberté) en Haïti, après avoir déjà participé financièrement à la création du jardin, soutient aussi ce projet avec 4’000 USD sur le total de 16’000 USD.

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CENTRE DE FORMATION CONTINUE

En 2019, nous avons acheté un grand terrain avec l’idée d’y implanter un Centre de Formation Continue. But : promouvoir une éducation de qualité en améliorant la formation initiale et continue tellement lacunaire des enseignants, mise à leur disposition régulière d’un laboratoire informatique pour le perfectionnent par la pratique, la préparation des leçons et faire des recherches.

L’établissement d’un plan convenant à tout le monde et la recherche de fonds ayant pris bien plus de temps que prévu, le premier coup de pioche a seulement pu être donné le 9 janvier 2023. Ensuite, les travaux avancent vite, cependant le prix des matériaux est constamment à la hausse, le coût du transport devient exorbitant en raison de la rareté du carburant. Il faut également « payer » les chefs de gangs pour traverser d’une zone à l’autre.  En avril, les travaux sont stoppés, la recherche de fonds reprend et continue. 

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STANDS DE PRESENTATION DE LUMIERE POUR HAITI

Les stands de vente d’artisanat en Suisse, tenus lors de diverses manifestations, nous permettent de nous faire connaître, de renflouer la caisse, mais aussi de soutenir les artisans haïtiens et promouvoir leurs créations.

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Passées

BANANERAIE

Depuis 2019, à travers un prêt, la Fondation Lumière pour Haïti permet à un ancien boursier en agronomie de mettre sur pied sa plantation de bananes à Hinche, au plateau central d’Haïti. Brice a affermé 1.5 carreau de terre (près de 20’000 m2) pour une durée de cinq ans. Vu le risque d’inondation en cas de fortes pluies à cause de la proximité de la rivière de Sanmannan, Brice a fait creuser des rigoles. Entre les plants de bananes, Brice ajoute du haricot noir ce qui minimise les coûts d’entretien du champ et les bananiers vont bénéficier des travaux de préparation du sol et de l’entretien de la culture d’haricot. Durant la première année, en raison des mauvaises conditions météorologiques, un vol de plusieurs régimes de bananes même pas encore arrivées à maturité et la pandémie qui ralentit toutes les  activités, le bénéfice obtenu atteint à peine les 50% de ce qui était espéré. Clôturer le jardin et installer un système de sécurité est la prochaine phase du projet, ceci a un coût non prévu au départ.

Brice est désespéré, il a découvert bien trop tard que le terrain loué pour cinq ans n’est pas aussi fertile que prévu. Il espérait une entrée aux mois de mars et avril, mais suite à la dernière tempête, le terrain demande à être replanté totalement. Brice est en perpétuelle lutte par rapport aux habitants de la zone qui laissent leurs animaux en liberté et il ne peut pas clôturer le terrain. Tout devient plus cher et il est difficile de trouver de la gazoline pour arroser le terrain. Il n’y a pas de profits pour l’instant, il dépense beaucoup plus que ce qu’il a comme entrées. Triste réalité !

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ECOLE LES NOUVEAUX QUISQUEYENS

Elle a été créée en 2003 par Loulou, un ancien boursier de Lumière pour Haïti, à l’intention des élèves en marge de la société, principalement des « Restaveks ». Leurs parents très pauvres vivent à la campagne et ont confiés les enfants à un « oncle » ou une « tante » à Port-au-Prince. Le premier souci de ces derniers n’est pas l’éducation de l’enfant qui est souvent réduit à la condition d’esclave par leur « famille ». 
Voyant que les professeurs bénévoles ne font que passer et que le centre n’a pas les moyens de les rémunérer, Lumière pour Haïti débloque depuis 2005 une petite indemnité au corps enseignant. 
Durant de longues années, les cours ont pu se donner dans un grand collège. En 2012, il a fallu chercher un nouveau local. Faute de finances suffisantes, les cours se donnent dans une sorte de hangar. Les bancs très rudimentaires sont placés dans un couloir entre deux bâtiments. C’est le tableau noir qui sépare les classes. 
Durant les bonnes années, Les Nouveaux Quisquéyens accueillaient jusqu’à 46 élèves du primaire. Puis, l’effectif a graduellement baissé. Finalement, l’école a arrête le fonctionnement en 2016.

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ECOLE MIXTE DES FRERES BRUNO

Cette école a été fondée en 2008 par Samuel, un des étudiants en médecine bénéficiant d’une bourse de Lumière pour Haïti. Au départ, elle a accueilli avant tout des enfants venant du Centre éducatif fonctionnant le week-end. Lumière pour Haïti a pris en charge la cantine et a cherché des parrains pour couvrir les écolages d’environ 70 élèves particulièrement démunis.
Lors du séisme en 2010, le bâtiment occupé à ce moment-là a été totalement détruit. Durant deux ans, les cours se sont donnés entre les ruines. En 2012, Lumière pour Haïti a pu acquérir un terrain de 5’763 m2 avec une maison spacieuse à Onaville. Grâce au Service de Solidarité Internationale de l’Etat de Genève, le terrain a pu être clôturé et divers aménagements ont pu être faits, notamment la construction provisoire de trois salles supplémentaires. L’école peut ainsi offrir tous les cours allant du préscolaire à la 3e année du secondaire.
Fin 2013, nous découvrons de dangereuses fissures un peu partout dans la maison. Selon deux expertises, ces détériorations mettent en danger la vie des élèves et du personnel. Nous faisons construire des abris provisoires, mais à cause du directeur têtu, la maison vouée officiellement à la destruction est toujours debout. Nous coupons toute subvention à cette école et attendons le verdict du juge censé expulser ce directeur inconscient et nous restituer notre propriété.

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MApDEN - REBOISEMENT

SOUTIEN A MApDEN
(Mouvement d’Appui pour le Développement de l’Environnement National)

En 2003, Lumière pour Haïti a trouvé le financement pour une pépinière. A Léogâne, 116’000 noyaux de manguiers et 114’000 noyaux d’avocatiers ont été mis en terre. Le 2e cycle en 2005 s’est porté sur 20’000 manguiers, 10’000 avocatiers ainsi que 60’000 d’essences forestières. Ce projet a fourni du travail à une centaine de personnes.
Les manguiers ont été implantés à perte de vue sur les collines de la région de Léogâne. La terre est ainsi maintenue sur place et les paysans ont récolté et vendu des tonnes de fruits.
Actuellement, le projet se poursuit sur une petite échelle à travers la «Plantation Georges Rossier» au Plateau Central.

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MApDEN - FRUITS

SOUTIEN A MApDEN
(Mouvement d’Appui pour le Développement de l’Environnement National)

En 2005, Lumière pour Haïti a pu envoyer sur place un technicien pour enseigner à une vingtaine de personnes la construction de séchoirs solaire et à gaz, comment sécher les fruits et les transformer notamment en confiture et sirop.

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MApDEN - CASSAVERIE

SOUTIEN A MApDEN
(Mouvement d’Appui pour le Développement de l’Environnement National)

Cassaverie (Transformation et commercialisation du manioc) :
La cassave (sorte de pain croustillant) a longtemps été l’aliment de base des Haïtiens, puis abandonnée en faveur du pain blanc. En 2006, Lumière pour Haïti a permis l’inauguration d’une cassaverie dans la région de Léogâne, grâce au financement trouvé par Lumière pour Haïti. Les paysans y amènent leurs racines de manioc qui sont lavées, épluchées, moulues et pressées pour en faire une farine fine. Sont ensuite formées des galettes qui seront cuites au four. Cette activité a été transféré au Plateau Central et n’est plus soutenu par Lumière pour Haïti.

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CENTRE MEDICAL

Jude, un ancien membre du comité de Lumière pour Haïti à Genève, haïtien, chirurgien, est retourné dans son pays.
Il a transformé une grande maison à Bobin, quartier populaire de Pétion-Ville, en un centre médical. Lumière pour Haïti y a contribué modestement par un appui financier.
Puis Lumière pour Haïti a aidé le médecin à terminer la construction et à équiper un autre centre médical, le CEMEREF, à Croix-des-Bouquets. Le Centre comprend actuellement : un bloc opératoire, une salle de maternité, 15 lits, une pharmacie, un laboratoire, une salle de consultation et un service d’urgence 24/24.

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COLLEGE MIXTE DE L'UNION DES UNIVERSITAIRES

Depuis 1997, Lumière pour Haïti a porté cette école (salaires des profs, matériel scolaire, cantine, loyer). Par manque de collaboration et de transparence de la part du directeur, la subvention a été coupée en décembre 2012.

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CLINIQUES MOBILES

Dans un cadre modeste (prise en charge de médicaments), Lumière pour Haïti a contribué par le passé aux cliniques mobiles organisées par l’association soeur LpH-Haïti.

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CENTRE EDUCATIF DES FRERES UNIS CEFUE

Afin de combattre la délinquance juvénile, Samuel, un de nos étudiants a fondé le Centre des frères unis pour l’éducation civique et spirituelle des enfants de la Cité Soleil.
10 bénévoles y ont donné des notions d’hygiène, d’éducation civique et spirituelle universelle ainsi que de savoir-vivre à une centaine d’enfants de 5 à 13 ans, les samedis matins et les dimanches après-midi.
Depuis que Lumière pour Haïti a payé pour un plat chaud hebdomadaire (depuis 2005), l’effectif des enfants a quadruplé au fil des ans.
En 2006, sur la demande des parents, ce centre ne fonctionnant que le week-end a été remplacé par l’école Bétsaléel. Celle-ci compte aujourd’hui toutes les classes du préscolaire et du primaire, avec un effectif total de 210 élèves.

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